Projet 1

Publié le par Alliya

Bien bien, j’inaugure la partie «  Le coffre aux projets » !!

Quoi que c’est déjà ?

C’est très simple, comme le nom l’indique, c’est là que je vais mettre les idées de fics qui me passent par la tête, déjà couchées sur pages ou à simple ébauche sous forme de trailer… Breeef, vous y trouverez tout ce qui arrive à s’extirper du maelstrom jamais inactif de mon imagination ( tordue ? XD), et dont j’aimerai votre avis. Sur le long terme, si cela plait et si l’inspiration suit, ça peut quitter cette partie et intégrer les rubriques des fics, allez savoir…

 

Voici donc un de ces projets, qui traine depuis plusieurs mois dans mon pc. Il s’agit d’une fic Bleach, qui, à terme, devrait comporter 2 arcs, complémentaire, mais pas indissociables.  Enfin, pour ça, vous comprendrez si un jour je mène ce projet à terme.

Ce premier arc, donc, sera composé d’une série de chapitres relativement courts. Enfin, vous verrez bien^^

 

ENJOY !! ( enfin, j’espère ^^ ’)

 

 

bleach logo


 

Ake rindou / la gentiane écarlate

( la traduction japonaise doit être correcte mais bon, si je me plante, n’hésitez pas à me le dire^^)

 

Rating : K ( pour le moment… après, on verra bien) 

Genre : euuuuh, général, famille, amitié…

Pairing : aucun pour le moment 

Disclamer : Alors pour une fois, la plupart des personnages m’appartiennent, sauf certains que vous reconnaitrez. Ceux-là et le monde dans lequel ils évoluent appartiennent à leur auteur, ce cher Tite Kubo

 

 

 

                              Chapitre 1 :  Rencontre

 

 

         C’était une belle et chaude journée. Une journée de calme à la Soul Society où ses habitants vaquaient à leurs occupations et où les enfants jouaient et riaient en toute quiétude, les petits garçons se poursuivants et criant et les petites filles créant un nouveau monde avec leurs poupées. Une belle journée oui, qui encourageait à la détente et à la joie.

 

Assise sur une des plus hautes branches de l’arbre centenaire qui bordait la limite de la propriété, surplombant le mur d’enceinte, une fillette observait le monde extérieur. Un monde qu’elle connaissait peu, voir pas du tout, en dehors de ce qu’elle pouvait parfois apercevoir à travers les fentes des portes du norimono ( palaquin). Un monde qui l’intriguait, la fascinait. L’attirait, irrésistiblement.  Le vent lui portait l’écho des rires des enfants qui jouaient. De son perchoir, elle distinguait par moment leurs silhouettes lointaines qui s’agitaient joyeusement.

 

Que n’aurait-elle donné pour pouvoir les rejoindre. Pouvoir être une enfant normale qui avait le droit d’aller jouer avec ses amis. Pouvoir aller là où elle voulait, quand elle le voulait. Faire ce dont elle avait envie, sans restrictions… Il lui serait si simple de quitter sa branche et de sauter par-dessus le mur. Passer de l’autre côté et découvrir le monde des gens « pauvres, rustres et vulgaires », pour reprendre les mots utilisés par ses parents. Quitter, ne serait-ce que pour une journée, cet endroit qui l’étouffait… Oublier sa condition, être une enfant normale de 6 ans…

 

- Takahashi-sama !!! Takahashi-sama !!! 

 

Elle poussa un soupir. La réalité venait une fois de plus de la rattraper. Sans quitter sa cachette, elle détourna son attention de la liberté dont elle rêvait pour regarder en direction du jardin et de la domestique qui la cherchait, avec visiblement beaucoup d’appréhension.  La fillette eut une petite moue agacée. Sa mère devait avoir une nouvelle leçon à lui faire sur l’instant et elle avait dépêché les serviteurs pour débusquer la petite fugueuse une fois sa chambre découverte vide.

 

Elle eut un moment d’hésitation. Allait-elle se montrer, ou au contraire rester cachée encore un moment ? La deuxième solution était tentante. Mais si jamais elle n’était pas découverte rapidement… Ses parents allaient s’inquiéter, ils penseraient sûrement qu’elle avait été enlevée ou attaquée et ils feraient appel à la garde. Voir même aux Shinigamis. Shinigami. Elle avait entendu ce mot dans des conversations d’adultes. Il désignait apparemment  des habitants de la Soul Society dotés de Reiatsu, et qui avaient décidé de s’en servir pour maintenir l’équilibre, en combattant les monstres, entre autres. Ils n’étaient pas encore très nombreux mais elle avait entendu les adultes dire qu’ils faisaient du bon travail, malgré le sous effectif. Il leur arrivait aussi, par moment, de se mettre au service des grandes familles nobles pour assurer leur sécurité notamment. Plusieurs d’entre eux viendraient sûrement pour la rechercher, si jamais son père l’exigeait. Cela pourrait être amusant de jouer à cache-cache avec eux, mais la punition reçue ensuite serait d’autant plus sévère.

 

- Takahashi-sama ! Où êtes-vous ? 

 

La fillette poussa un nouveau soupir et se laissa finalement glisser de sa branche. Celle-ci se trouvait à dix bons mètres au dessus du sol, mais elle atterrit souplement, presque avec grâce, sans se faire le moindre mal. Cela faisait un moment qu’elle ne craignait plus de chuter, ayant parfois l’impression de descendre au ralenti. Elle ne comprenait pas vraiment pourquoi, mais cela l’arrangeait, alors elle ne se posait pas plus de question que ça.

 

Elle s’éloigna de l’arbre et se dirigea vers la servante qui l’appelait encore. Il lui fallut encore une bonne minute pour finalement apercevoir sa jeune maitresse. Immédiatement, son visage refléta du soulagement.

 

-Takahashi-sama, vous voilà enfin ! Nous vous avons cherché partout ! Mais… dans quel état vous trouvez-vous !! 

 

La  fillette continua son chemin vers la maison. Oh, elle savait qu’elle devait avoir des feuilles dans les cheveux et que ses vêtements étaient poussiéreux. Mais elle s’en moquait.  Les enfants dehors se salissaient beaucoup plus qu’elle et ce n’était pas grave, non ?

 

Mais ce n’était visiblement pas l’avis de sa gouvernante. Koboki Hanako, une femme stricte approchant la cinquantaine, l’attendait devant l’entrée de la demeure, les bras croisés et une expression sévère au visage.

 

- Vous voilà donc ! Votre mère vous demande. Et il est hors de question que vous vous présentiez devant elle ainsi. 

 

La gouvernante la précéda dans la demeure, prenant la direction de la chambre de la fillette. Celle-ci traversa les longs couloirs de la somptueuse demeure sans les voir, ni eux, ni les riches décorations, ni les domestiques qui s’écartaient sur leur passage.  Elle voyait tout cela depuis sa naissance. Cela ne l’amusait plus. Être l’héritière d’une des plus grandes et anciennes familles nobles de la Soul Society n’avait rien d’amusant. Bien au contraire. C’était comme être un oiseau sans ailes. Ou plutôt, un oiseau en cage.

 

Une fois arrivée dans sa chambre, la fillette fut dépouillée de ses vêtements, lavée, puis coiffée et rhabillée par deux domestiques, pendant que Koboki lui faisait la leçon. L’héritière des Takahashi se devait d’avoir un comportement irréprochable. Elle devait être une enfant modèle qui susciterait l’admiration. Beaucoup d’espoirs et d’attentes reposaient sur ses épaules. Elle ne devait pas se comporter comme une souillon, comme une enfant du peuple.

 

Elle écouta le sermon en silence, se laissa préparer, gardant pour elle ce qu’elle pensait. C’était toujours la même chose, toujours les mêmes reproches. Elle n’était pas la petite fille modèle que ses parents voulaient qu’elle soit. Elle les décevait, les exaspérait, mais ils ne perdaient pas espoir de la faire entrer dans le rang. D’où la présence de Koboki Hanako.

 

-J’espère pour vous que cela ne se reproduira plus. 

 

La fillette retint le commentaire qui avait envie de sortir, et se contenta d’un signe de tête non compromettant. Comme si elle allait accepter d’être enfermée ! Mais elle n’allait certainement pas l’avouer. Ni promettre qu’elle obéirait. Elle évitait de mentir autant que possible, préférant jouer avec la vérité.

 

Temporairement satisfaite, la gouvernante ouvrit la porte de la chambre et fit signe à la fillette de se mettre en route. Ce fut à nouveau la traversée des couloirs pour gagner l’autre aile de l’immense demeure, qui abritait les appartements des maîtres des lieux.  La traversée prendrait plusieurs minutes, tellement la propriété était vaste. Les Takahashi, l’une des plus anciennes familles nobles,  voir même la plus ancienne à présent, de la Soul Society, ne souffriraient pas le déshonneur de vivre dans une demeure qui ne soit pas à la hauteur de leur nom. De cela résultait la possession de la plus grande propriété de la Soul Society, constituée de plusieurs dizaines de bâtiments abritant tous les membres du clan, les serviteurs et les gardes, ainsi que d’immenses jardins.

 

La présente  demeure abritait le chef de clan et sa famille directe, ainsi que quelques serviteurs qui veillaient à la tenue de la maison. Les autres membres du clan se partageaient les autres constructions, plus modestes, mais toujours luxueuses. Ils n’étaient plus très nombreux, cependant, à présent. Les attaques de Hollow, l’âge, les maladies et la chute de natalité sans parler des conflits internes, avaient réduit considérablement la taille du clan, comme c’était le cas pour beaucoup d’autres. La famille de la fillette se composait désormais de ses parents, de quelques oncles et tantes, ainsi que de quelques cousins. Mais la puissance du clan demeurait et continuerait tant que le chef de famille y veillerait.

 

Ce serait un rôle qu’il lui faudrait assurer, lorsque le temps viendrait. Et elle n’était pas du tout pressée de le faire. Elle était une enfant intelligente pour son âge et elle savait déjà quelles responsabilités seraient alors les siennes. Ce qui renforçait son envie d’évasion. Son sentiment d’emprisonnement se renforçait, quand elle pensait à son avenir. Elle n’avait pas d’amis avec qui elle pouvait se détendre et jouer. Juste un cousin et une cousine plus âgés. Mais elle ne pouvait leur parler librement, ses paroles seraient immédiatement rapportées, et leurs jeux n’avaient rien d’amusants. Eux avaient parfaitement assimilé la leçon. Les enfants Takahashi n’étaient pas comme ceux du peuple. Ils devaient être dignes et matures au plus tôt.

 

La fillette eut l’espace d’un instant une expression attristée. Que n’aurait-elle donnée pour avoir ne serait qu’un ou une ami(e) de son âge. Quelqu’un avec qui elle pourrait tout partager et qui ne la trahirait pas ni n’aurait d’arrière pensées. Une personne avec qui partager ses rêves et ses envies. Quelqu’un qui la ferait se sentir plus libre qu’elle ne l’était…

 

Elle chassa ces pensées lorsqu’elle se retrouva devant l’entrée des appartements de sa mère. Elle s’immobilisa, inspira profondément, et se redressa lorsque sa gouvernante frappa au panneau coulissant.

 

- Entrez ! 

 

Koboki fit coulisser la porte, poussant sans la toucher la fillette à l’intérieur. Celle-ci s’avança de plusieurs pas dans la pièce avant de s’immobiliser. Elle s’inclina légèrement, avant de s’asseoir sur les genoux, le regard fixé sur le sol, comme une bonne petite fille.

 

- Vous vouliez me voir, mère ?

 

- Eh bien, que signifie donc ce retard ? T’étais-tu donc encore échappée dans les jardins ?

 

La désapprobation était évidente dans la voix de sa mère. Mais cela ne la perturba pas. Elle en avait l’habitude. Redressant légèrement la tête, juste assez pour distinguer la personne face à elle, la fillette regarda sa mère. Takahashi Reiko, majestueuse dans son kimono bleu aux broderies argentées, était assise devant la table basse de ses appartements. Une tasse de thé fumait devant elle, prouvant que la fillette l’avait interrompue durant sa cérémonie quotidienne. Mais ce n’était pas de sa faute. Après tout, elle avait été appelée en ces lieux. Par sa mère. Celle-ci ne pouvait donc lui reprocher le dérangement.

 

- Eh bien, j’attends une réponse, jeune fille !

 

L’ordre claqua dans la pièce, ramenant la fillette dans le présent. Elle redressa finalement la tête, affrontant le regard profond et sombre de sa mère.

 

- J’étais simplement sortie respirer un peu d’air frais, mère.

 

Reiko eut une légère moue réprobatrice.

 

- Perchée dans un arbre, certainement. Ne retiens-tu donc rien de ce qui t’ait enseigné ? Une jeune fille de noble naissance ne doit pas avoir ce genre de comportement indigne de son rang !

 

La fillette retint un nouveau soupir. Elle allait encore avoir droit au sermon habituel.  Les jours passaient mais se ressemblaient tous. Toujours la même chose. Pourquoi s’étonnait-on ensuite qu’elle soit ainsi lassée et cherche à expérimenter de nouvelles choses ?

 

- … m’as-tu bien comprise ?

 

La dernière question de sa mère tira la fillette de ses pensées.

 

- Oui, mère.

 

Elle n’avait pas à savoir ce que Reiko lui avait dit. Sûrement de se comporter correctement à l’avenir. Comme si cela était possible !  L’enfant n’avait aucune envie de changer ses habitudes, mais cela, elle n’allait certainement pas le dire.

 

- Eh bien, qu’est ce donc ? Vous seriez-vous blessée ?

 

La voix douce qui intervint alors fit presque sursauter la fillette. Prise dans son affrontement, pour ainsi dire, avec sa mère, elle n’avait pas fait attention au fait qu’elles n’étaient pas seules dans la pièce. Son regard se posa sur la personne qui vint s’agenouiller à ses côtés.

 

- Unohana-san…

 

La femme lui répondit d’un doux sourire tandis qu’elle essuyait une petite trace de sang dans son cou à l’aide d’un mouchoir. La fillette avait du s’érafler sans s’en rendre compte. Son regard croisa celui infiniment doux et bienveillant de l’adulte. Unohana Chizuko était le médecin personnel de ses parents depuis de très longues années.  Bébé, la fillette adorait jouer avec la longue tresse que la femme portait sur le devant, symbole de son appartenance à la famille Unohana, guérisseurs de génération en générations affiliés exclusivement au clan Takahashi. Cela remontait aux origines du clan, quand le fondateur s’était alloué les services des plus grands médecins de la Soul Society. Les Unohana avaient trouvé le moyen d’utiliser leur reiatsu afin de guérir les blessures et les maladies et avaient élevé leurs techniques au rand d’art encore inégalé.  Et depuis ce jour, il y avait toujours eu un ou une Unohana pour veiller à la santé de chaque génération de Takahashi.

 

- Penchez un peu la tête sur le côté, je vous prie.

 

D’un geste aussi doux que son sourire ou sa voix, Unohana Chizuko aida la fillette à obéir et observa l’entaille fautive. Ce n’était rien de bien grave. Elle tendit la main et la posa au niveau du cou de l’enfant, ses doigts effleurant à peine la peau sensible et rougie. De sa main s’échappa une douce lueur et la fillette sentit un léger picotement lui parcourir le corps. Quand finalement la femme médecin s’écarta, quelques secondes plus tard, il n’y avait plus aucune trace de blessure sur la fillette.

 

- Merci, Unohana-san.

 

Celle-ci sourit à nouveau à la fillette.

 

- Mais je vous en prie.

 

Un soupir agacé attira leur attention et le regard de la fillette se posa à nouveau sur sa mère tandis qu’Unohana retournait à sa place initiale, dans un coin de la pièce.

 

- Venons-en à la raison pour laquelle je t’ai fait venir. L’on peut dire que cela a un rapport direct avec la scène qui vient d’avoir lieu. Depuis ta naissance, Chizuko a du s’occuper de toi plus que de n’importe quel enfant du clan.  Mais ses interventions auprès de toi se terminent ce jour.

 

La fillette adressa un regard légèrement intrigué à sa mère. Que voulait-elle dire ?

 

- A compter de ce jour, une autre personne sera chargée de s’occuper de toi. Faites-la entrer.

 

Obéissant à l’ordre de sa maitresse,  Koboki refit coulisser la porte des appartements, revalant une fillette agenouillée devant l’entrée, respectueusement inclinée. Unohana se déplaça jusqu’à se retrouver près d’elle, et ce ne fut qu’alors seulement que la fillette se redressa et pénétra dans la pièce, s’inclinant à nouveau respectueusement devant la maîtresse des lieux.

 

Pendant ce temps là, la fillette observait la nouvelle venue. Elle semblait avoir le même âge qu’elle, même si elle paraissait encore plus menue.  Elle avait des cheveux aussi sombres que les siens et du peu qu’elle pouvait voir des yeux aussi bleu que le ciel lors d’une belle journée d’été. La voix de Takahashi Reiko s’éleva à nouveau

 

- Voici Kisa, la fille de Chizuko. Elle est à partir de maintenant ton médecin attitré.

 

Kisa releva légèrement les yeux, croisant brièvement ceux de la fillette, avant de s’incliner respectueusement devant elle, un sourire tout aussi respectueux mais emprunt de la même douceur que sa mère aux lèvres.

 

- C’est un honneur pour moi de vous servir, Retsu-sama. Je ferais de mon mieux pour ne jamais vous décevoir.

 

Un sourire timide, sincère, qui de manière inattendu réchauffa le cœur de la fillette. A son tour, elle sentit ses lèvres s’étirer et un sourire presque heureux.

 

-Je compte sur toi.

 

Kisa releva les yeux. Le sourire timide refit surface, trouvant un reflet un peu plus assuré sur le visage de sa nouvelle maitresse.

 

Finalement, elle s’était trompée. Ce jour n’était pas identique aux autres. Quelque chose avait changé. Une petite pointe d’espoir nommé Unohana Kisa venait d’entrer dans la vie de Takahashi Retsu.

 

Dorénavant, elle ne serait plus seule…

 

 

A suivre…

 

 

Voilà, premier chapitre terminé ! Alors, verdict ?

 

Je sais, il ne se passe pas grand-chose pour le moment, c’est surtout un chapitre d’introduction.

Et oui, cette fic est centrée sur le personnage d’Unohana Retsu, notre chère capitaine de la Quatrième Division. C’est un personnage que j’aime beaucoup, et j’ai décidé de me pencher sur son histoire, à ma sauce bien sûr.

Vous l’aurez remarqué, elle n’a pas le même nom, ici. Toutes les explications viendront en temps voulu ^^

 

Bon, ce chapitre n’a pas été autant corrigé que els autres, j’ai voulu vous présenter le texte actuel. Après, si j’en fais réellement une fic, je reprendrai sûrement certaines choses, aussi tout commentaire est le bienvenue ^__^

Publié dans Le coffre aux projets

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J'aime te lire!(sourire) Alors, j'ai lu!(sourire) J'ai beaucoup aimé suivre cette petite fille issue d'une grande famille qui doit se plier aux exigences de son rang! On comprend qu'elle ait envie<br /> de se rebeller à sa façon contre ça, c'est beaucoup demander à une petite fille de six ans de rester sage et neutre quand les autres enfants de son âge s'amusent! C'est si stricte et conventionnel<br /> entre sa mère et sa gouvernante que ça fait plaisir de voir ce petit moment doux avec Chizuko. On a l'impression qu'il y a une relation un peu plus douce, affectueuse entre elles et je me suis<br /> indignée un instant à l'annonce de sa mère! Et puis on découvre cette autre petite fille du même âge qu'elle dont la maman est Chizuko, j'étais ravie, je me suis dit qu'elle aurait une compagnie<br /> plus appropriée à l'avenir, quoi que même si la dernière phrase donne de l'espoir, on ne sait pas à ce moment si elles s'entendront ou non, comment cela se passera! Mais ce nouveau personnage<br /> apporte plus de confusion, j'étais un peu perdu à un moment entre les noms des petites filles surtout, je me demandais si j'avais tout cerné, tout compris! Et j'étais ravie, c'est quelque chose<br /> d'extrêmement plaisant quand on aime lire d'être surpris, dérouté, étonné par les intrigues d'une histoire(sourire). Parce que, je me demande comment on passe de Unohana Kisa et Takahashi Retsu à<br /> Unohana Retsu, c'est beaucoup trop intriguant. Tu as un style et une plume vraiment très attractif, je suis attrappée à chaque fois par cette façon d'accrocher et de captiver le lecteur!(sourire)<br /> Tu me fais lire le fandom Bleach avec pratiquement autant d'intérêt que pour Naruto, c'est presque incroyable, non, pour quelqu'un qui n'est pas attirée par les fictions sur le sujet! Regarder<br /> l'animé me contente, je ne ressens pas le besoin de m'imaginer plus comme pour Naruto mais toi tu arrives à faire en sorte de m'en faire lire!(sourire) Gros merci!(sourire) Meeeeerci!
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A
<br /> <br /> Pfiou, j'ia pris un coup de retard, toutes mes excuses!!<br /> <br /> <br /> merci à toi de ta fidélité en tout cas^^<br /> <br /> <br /> Il est vrai que ce chapitre est un peu particulier, surtout au niveau de l'identité des protagonistes, mais c'est fait exprès. On doit effectivement s'interroger sur le snoms, se demander comment<br /> on en arrivera à Unohana Retsu.<br /> <br /> <br /> Retsu est un perso que j'ai appris à aimer et j'ai voulu lui rendre hommage à ma façon, avec mes propres délires, en espérant que ça passera^^"<br /> <br /> <br /> Comme signalé, ce chapitre n'est pas complètement terminé, dans le sens où il sera probablement corrigé si un jour je termine la fic et décide de la publier. mais en attendant, je te remercie<br /> pour tes commentaires^^<br /> <br /> <br /> <br />